Casavo dresse le classement des 10
villes les plus attractives
Avec près de 15% de
résidences secondaires, la région PACA est l’une des plus plébiscitées de
France par les acheteurs franciliens. Ensoleillement exceptionnel, accès
facilité par le TGV, richesse du patrimoine et diversité des activités… Revers
de la médaille : une hausse continue des prix et une réglementation de plus en
plus stricte sur les locations saisonnières. L’achat d’une résidence secondaire
dans le Sud ne s’improvise pas.
À partir de données
objectives (prix au m², évolution des prix sur 10 ans, accessibilité TGV, taux
de résidences secondaires, ensoleillement, dynamisme culturel et conditions de
location), Casavo, l’agence qui simplifie l’achat et la vente de biens immobiliers
grâce à la technologie, a comparé 10 villes phares de la région
Provence-Alpes-Côte d’Azur et leur a attribué une note sur 20, pour aider les
acheteurs à y voir plus clair et à sélectionner leur emplacement idéal selon
leur profil.
1. Marseille – 17,5/20
Le meilleur compromis
prix / soleil / accessibilité
Avec son bord de mer,
son ensoleillement au top (2 800 h/an) et un prix au mètre carré encore
accessible (4 600€/m²), Marseille coche toutes les cases. Ajoutez à cela un
accès direct en TGV depuis Paris (3h10) et une forte prise de valeur (+31% sur
10 ans), la cité phocéenne attire autant les investisseurs que les
télétravailleurs.
2. L’Isle-sur-la-Sorgue
– 17/20
Le charme provençal à
prix doux
Appréciée pour ses
canaux et ses antiquaires, cette "Venise comtadine" affiche des prix
très attractifs
(3 500€/m²) et une part importante de résidences secondaires
(~18%). Accessible en 3h30 depuis Paris (avec correspondance), elle combine
authenticité, cadre apaisant et potentiel de valorisation (+19%).
3. Toulon – 16,5/20
Un investissement malin
Encore sous-cotée avec
4 400€/m², Toulon est une ville de bord de mer qui gagne à être connue.
Facilement accessible (4h depuis Paris), elle bénéficie d’une forte demande
locative, d’un bon niveau d’ensoleillement (2 800 h/an) et d’un solide
potentiel de valorisation (+21%).
4. Nice – 15/20
La valeur sûre du
littoral azuréen
Nice séduit par son
dynamisme culturel, ses liaisons directes en TGV (5h30), son ensoleillement
(2 700
h/an) et sa belle valorisation (+32% sur 10 ans). Le revers : un prix élevé (6 300€/m²)
qui freine
les petits budgets.
5. Aix-en-Provence –
14,5/20
L’élégance provençale,
loin des touristes !
À 3h de Paris en TGV,
Aix est prisée pour sa vie culturelle. Même si le coût de l’immobilier est
élevé
(6 500€/m²) et que la valorisation reste en deçà de la moyenne (+26%),
Aix reste un très bon choix si vous souhaitez un cadre calme, entouré de
verdure loin du tourisme de masse.
6. Cannes – 14,5/20
L’effervescence chic à
prix d’or
Avec un prix au m² de 7
000€, Cannes reste un marché élitiste. Mais ses festivals, sa demande
touristique, son accès TGV direct (5h) et sa prise de valeur (+35%) en font une
ville de résidence secondaire très recherchée.
7. Cassis – 14/20
Le paradis des sportifs
nature
Idéale pour les
randonneurs, nageurs et grimpeurs, Cassis offre un cadre naturel unique. Bien
qu’accessible uniquement via correspondance (4h), la ville affiche une très
bonne valorisation à +25% et une forte attractivité. Prix élevé : 8 800€/m².
8. Menton – 13,5/20
Douceur
méditerranéenne, mais éloignée
Charmante et baignée de
soleil (2 700 h/an), Menton reste difficilement accessible (6h avec
correspondance) et plutôt chère (5 700 €/m²), malgré une valorisation plus
modérée (+22%).
9. Grimaud – 12/20
Le luxe discret du
Golfe de Saint-Tropez
À 10 km de la mer et
non desservie directement par le TGV, Grimaud affiche pourtant des prix dignes
des grandes métropoles (10 000 €/m²). Son charme villageois et son haut
pourcentage de résidences secondaires (~30%) séduisent une clientèle très
ciblée.
10.
Saint-Jean-Cap-Ferrat – 10/20
Pour les très hauts
revenus uniquement
Avec un prix au m² qui flirte avec les 23 000€, la presqu’île de Saint-Jean est réservée à l’ultra-luxe. Site préservé, villas de rêve, mais un budget et un accès (6h avec correspondance) peu compatibles avec une résidence secondaire familiale.


