Elle est installée à Lecci de Porto-Vecchio, sur la route de Cala Rossa, dans le périmètre des premières opérations de promotion de luxe sorties de terre il y a près de cinquante ans. De riches industriels parisiens et du nord de la France étaient alors tombés amoureux de la végétation, des plages désertes et des vues à couper le souffle, puis, rapidement, ces paysages privilégiés ont attiré des personnalités de la chanson, du cinéma, de la publicité, de la politique et des médias.
Les parcelles construites ou constructibles, à proximité des plages de Palombaggia, Santa Giulia et Saint Cyprien sont si prisées qu’il n’est pas rare de voir des propriétés se négocier entre 7 et 10 M€. Il s’agit le plus souvent de villas ou terrains « pieds dans l’eau ».
Cependant, ces montants ne reflètent le standard des offres proposées à la vente : à côté de ce segment haut de gamme, et assumé comme tel, de belles opportunités animent actuellement le marché. Il est constitué d’un stock de villas de première génération.
Ces maisons sont à rénover entièrement et leur prix reste très abordables en rapport à leurs emplacements, avec deux formidables avantages : elles sont idéalement situées, ce qui leur assure une valorisation à terme (la loi Littoral interdit toutes nouvelles constructions proches de l’eau) et leur environnement est totalement maitrisé. De plus, cette année, la réforme du régime fiscal des plus-values est appelée à donner un coup d’accélérateur au marché immobilier local. Par ailleurs, le prix du foncier est encore très bas.
Les professionnels sont tous convaincus que cet essor bénéficiera à toutes les constructions et les régions de l’île : Ajaccio, la Balagne, Saint Florent et le Cap Corse au nord, et à l’extrême-sud, de Sainte Lucie de Porto-Vecchio à Bonifacio en passant par Pianottoli et Cala-Rossa.
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