Face à la pénurie de logements et à la hausse des prix, les stratégies de Catella Residential maximisent vos chances de trouver un hébergement.
Chaque année, plus de
trois millions d’étudiants poursuivent des études supérieures en France. Parmi
eux, près de deux millions recherchent activement un logement, quand seulement
400 000 places environ leur sont spécifiquement destinées. Cette équation
impossible génère une forte concurrence, particulièrement dans les métropoles
universitaires. Dans un marché ultra-tendu, Catella Residential livre cinq
conseils pour optimiser ses chances de trouver un hébergement étudiant.
1 - Anticiper : le
facteur clé d’une recherche réussie
Anticiper n’est pas
toujours possible lorsque l’on attend les résultats de Parcoursup ou de
concours. Mais bien s’organiser et préparer sa recherche permet d’être plus
réactif. Dans les zones tendues, les logements attractifs partent très vite. Un
dossier complet fait la différence : pièce d’identité, attestation
d’inscription, justificatifs de revenus du garant ou Visale, bulletins de
salaire des parents, attestation d’assurance habitation. Cette préparation
permet de réagir rapidement et d’être pris au sérieux par les agences ou
propriétaires.
L’atout en plus : Rédiger une lettre de
motivation courte présentant le profil et le projet d’études rassure et peut
s’avérer une stratégie gagnante.
2 - Calculer le coût
réel, au-delà du loyer affiché
Un studio à 500€ peut
coûter 750€ mensuels avec tous les frais. Entre les charges locatives
(80-120€), l’assurance (15-30€), internet (20-40€), les frais d’agence (un mois
de loyer), l’équipement mobilier
(300-500€) et le transport, le montant grimpe
vite. Selon l’UNEF, le logement représente 48% du budget étudiant³. Anticiper
ces frais permet d’identifier rapidement les annonces compatibles, évite les
mauvaises surprises et permet de mieux cibler ses recherches.
L’atout en plus : Les applications
budgétaires comme Tricount ou PiloteBudget facilitent la gestion des dépenses
et permettent d’affiner ses recherches. Un studio à 50€ plus cher mais proche
du campus est souvent un bon calcul.
3 - Privilégier la
localisation sur la superficie
Un logement éloigné et
mal desservi génère des trajets quotidiens longs et coûteux. À Bordeaux,
Marseille ou Nantes, plus de 30% des étudiants mettent au moins 40 à 60 minutes
pour rejoindre leur campus en transports en commun. Le budget mensuel transport
peut alors dépasser 60 euros. Ces temps de trajet et ces coûts pèsent
lourdement sur le quotidien, le rythme d’études, la sécurité et le budget
global.
L’atout en plus : Privilégier la
localisation, c’est aussi se rapprocher de la vie étudiante, des bibliothèques
et des opportunités de petits boulots.
4 - Déjouer les
arnaques en recrudescence
Loyer anormalement bas,
refus de visite, demandes de paiement anticipé, photos floues : les arnaques se
multiplient. Quelques bons réflexes peuvent éviter des galères : ne jamais
verser d’argent avant une visite, qu’elle soit physique ou en visio, toujours
exiger un bail écrit, prendre le temps de vérifier l’identité du bailleur.
L’atout en plus : Recherchez le
propriétaire sur les réseaux sociaux et vérifiez que l’adresse existe
réellement sur Google Street View. Cinq minutes de vérification peuvent éviter
des mois de galère !
5 - Activer tous les
dispositifs d’aide financière
APL, garantie Visale,
aides régionales, bourses logement : les aides cumulées peuvent réduire le coût
mensuel de 150 à 250€, soit jusqu’à 3 600€ annuels. Pourtant, beaucoup
d’étudiants ignorent leur existence ou commencent les démarches trop tard. Les
dispositifs sont à solliciter dès juin et le dossier à ouvrir à la CAF dès
l’obtention du logement. Cette anticipation permet de maximiser les économies et
de sécuriser le financement du logement.
L’atout en plus : Les CROUS ou certaines
écoles proposent des accompagnements ou logements à loyers régulés et
connaissent souvent des aides locales méconnues qui peuvent accélérer vos
démarches.
« Le logement ne
devrait jamais être un obstacle à l’orientation. Un étudiant bien préparé et
capable de réagir rapidement à toutes les chances de trouver une solution, même
dans les villes les plus sous tension. L’anticipation et la connaissance des
dispositifs d’aide transforment un parcours du combattant en recherche
maîtrisée. »,
indique Paul Cayla, Président de Catella Residential.
Investisseurs privés :
vers une nouvelle génération de résidences étudiantes
Aujourd’hui, les
investisseurs et exploitants privés jouent un rôle déterminant dans
l’augmentation et la modernisation de l’offre de logements étudiants en France.
Face à la pénurie et à la forte tension du marché, ils proposent des résidences
nouvelle génération qui vont bien au-delà du simple hébergement : ces
résidences offrent des solutions « tout compris » intégrant non seulement le
loyer et les charges, mais aussi une gamme de services adaptés aux attentes des
étudiants (salle de sport, petit déjeuner, espaces de coworking, ménage,
animations et vie communautaire, etc.)
Grâce à ces
initiatives, les investisseurs privés contribuent à répondre à la demande
croissante tout en améliorant la qualité de vie des étudiants. Ils participent
activement à la transformation du marché, en rendant le logement étudiant plus
attractif, sécurisé et adapté aux nouveaux usages : « L’offre de résidences
avec services, portée par des investisseurs engagés, permet non seulement
d’augmenter la capacité d’accueil mais aussi de proposer des solutions
innovantes, où chaque étudiant et étudiante peut trouver un cadre propice à la
réussite de ses études et à son épanouissement personnel », souligne
Paul Cayla.
Zoom sur les
territoires : Loyers moyens des studios
- France
: 559€/mois
en moyenne, charges comprises
- Province
: environ
632€/mois - Lyon : 14,12 demandes/logement ; Rennes : 11,38 demandes
- Île-de-France
: environ
855€/mois - Très forte tension avec 4,2 demandes
- Paris intra-muros : environ 917€/mois
- Grandes
métropoles universitaires
(Charges comprises – estimations compilées 2024–2025)
Ville |
Loyer moyen |
Évolution annuelle |
Paris intra-muros |
907–949 € |
+6 % à +0,9 % |
Lyon |
590–637 € |
0,8 % |
Bordeaux |
562–598 € |
0,9 % |
Marseille |
520–566 € |
2,3 % |
Toulouse |
480–544 € |
4,7 % |
Rennes |
420–501 € |
1,2 % |