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[Etudes] SeLoger - DPE : jusqu’à 25% d’écarts de prix selon les territoires

Ambitieuse et nécessaire, la loi Climat & Résilience influe de plus en plus sur le marché immobilier, au fur et à mesure des échéances de son calendrier d’interdiction de location.
Au 1er janvier 2023, le taux de passoires énergétiques dans le parc locatif privé est estimé à
18,5% contre 15,7% dans l’ensemble des résidences principales.

 

SeLoger, observatoire privilégié, engagé pour la compréhension des effets de cette réglementation sur le marché, rend accessible gratuitement à tous les Français, et professionnels de l’immobilier, le détail des différents impacts du DPE sur la valeur d’un bien grâce à son site dédié : impact DPE.

 

Valérie Létard, Ministre du Logement, s’est récemment emparée de 2 sujets majeurs : le cas spécifique de la rénovation énergétique en copropriété et la fiabilité du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), clé de voûte de la loi. Deux enjeux qui résonnent avec la démarche de transparence portée par SeLoger, avec notamment sa dernière étude “C’est à Paris que la loi Climat et résilience peine le plus à être respectée !” et grâce au site “impact DPE”.

 

La part de passoires thermiques à la vente désormais plus importante qu’à la location

 


 

Quel impact sur les prix ? Une décote marquée, des disparités territoriales

•   En moyenne, les logements en vente classés F ou G accusent une décote de 15%, soit environ
-452€ / m² par rapport aux biens classés D.

•   Cette perte de valeur sur les prix de vente affichés atteignant 5,9%, contre 3% pour les logements classés D.

•   La majorité des départements affichent une différence de prix supérieure à 20% entre une passoire thermique et un bien classé D. 

•   Les logements F ou G ont chuté de –3,5%, toutes typologies confondues.

 

 

 

Quelles conséquences pour les passoires thermiques proposées à la location ?

•   L’application progressive de la loi Climat & Résilience, qui cible en priorité le marché de la location, incite les bailleurs à améliorer la performance énergétique de leurs biens


•   A Paris par exemple, au 1er janvier 2025, les logements classés A se louent en moyenne +3€ de plus par mètre carré que les logements classés D. À l’inverse, les biens classés G affichent un loyer mensuel inférieur de -1,3€ / m² à ceux classés D*.


•   Depuis janvier 2021, le nombre de passoires thermiques disponibles à la location a diminué de près de -64%, contre -37% pour les biens classés A à D.

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