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Liquidations judiciaires : une optimisation de 2,3 milliards est envisageable

Que ce soit des start-ups, des PME ou de grandes entreprises internationales, près de 15 000 entreprises ont été placées en liquidation judiciaire en France, au 2ème trimestre 2013. L’argent récolté par la vente des biens de ces entreprises servira à payer leurs créances et le salaire du liquidateur judiciaire. Et plus la recette des ventes est élevée, moins il y aura de problèmes pour payer les dettes. Là est le cœur du problème.

Bien trop souvent, les sommes ne volent pas bien haut et le chef d’entreprise ne peut faire face à ses dettes : le taux de recouvrement de 44,7% en France est un des plus bas d’Europe, ce qui signifie que le prix de vente des biens ne représente même pas la moitié de la somme dû aux créditeurs. En Allemagne, le taux de recouvrement est de 52,2%, il atteint 86,3% en Belgique.


La législation actuelle serait-elle mal adaptée à la réalité ?
Le Code du Commerce prévoit que les annonces de ventes de biens issus de liquidations judiciaires doivent faire l’objet d’une publication sur internet.

Qui sait où les trouver ?

Qui voit passer ces annonces ?

Comment transmettre une offre ?

Comment manifester son intérêt ?

Le grand public ne le sait pas et le marché potentiel qui existe reste inexploité. Selon les estimations de Bob Adler, fondateur du site liquidationsenchere.com, ce marché s’élèverait à 5,6 Mds€. Si la France réussissait à atteindre le taux de recouvrement de la Belgique, cela représenterait un gain de 2,3 Mds€ pour l’Etat.

Pour plus d’informations : www.liquidationsenchere.com

 

 


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