Sondage mené par Pollfish pour le compte
de bunq en octobre 2025.
Lancer une entreprise
ne se résume pas à un investissement financier. Une étude* menée par bunq, deuxième
plus grande néobanque d’Europe, illustre que monter son entreprise demande bien
plus que du capital : c’est une épreuve de temps, de patience et de résilience.
Pour une majorité
d’entrepreneurs français, créer une entreprise reste un parcours semé d’obstacles
: 62% d’entre eux jugent le processus difficile. A titre de comparaison avec
nos voisins européens, ce taux descend à 35% aux Pays-Bas.
Les freins les plus
cités concernent la complexité administrative et réglementaire (29%), la
recherche de financement (28%) et la difficulté à trouver des clients (25%). Si
62% des répondants affirment qu’ils avaient une idée du processus avant de se
lancer, la moitié admettent qu’ils auraient réévalué leur décision s’ils
avaient réellement mesuré les efforts à fournir.
L’impact personnel de
l’entrepreneuriat : entre épanouissement et défi quotidien
Séduits par la promesse
de liberté, 46% des entrepreneurs français se sont lancés pour devenir leur
propre patron, et un quart pour concrétiser une idée qui leur tenait à cœur.
Mais cette liberté a un prix : 27% jugent leur équilibre de vie plus difficile
à trouver, et 16 % disent avoir ressenti un impact négatif sur leur santé
mentale. Malgré tout, deux tiers des entrepreneurs estiment que l’expérience a
eu un impact positif sur leur vie, preuve que l’accomplissement personnel reste
la plus grande récompense de l’entrepreneuriat.
D’ailleurs, 38%
considèrent que la liberté d’être son propre patron est la meilleure partie de
cette aventure, suivie par la satisfaction de donner vie à un rêve (37%).
Expansion :
l’international source de complexité
La gestion financière
internationale reste un obstacle pour beaucoup. Pour les d’entrepreneurs ayant
tenté d’élargir leur activité à d’autres marchés, de nouveaux défis s’ajoutent
:
• La fiscalité (44%)
• Les contraintes administratives (39%)
• Les différences linguistiques (33%)
« Quel que soit le pays dans lequel vous vivez, l’entrepreneuriat n’est pas fait pour les âmes sensibles. Cela demande non seulement de l’argent, mais surtout du temps, de la patience et de la détermination. Les entrepreneurs méritent de diriger leur entreprise d’une manière qui corresponde à la vie qu’ils souhaitent avoir, et non l’inverse. En leur facilitant la gestion de leurs finances, ils récupèrent également leur ressource la plus précieuse : du temps pour développer leur activité et préserver leur vie personnelle », explique Joe Wilson, Chief Evangelist chez bunq.


