Golem.ai
sensibilise les entreprises sur le risque réputationnel lié à la mise en place
de l'IA.
L’intelligence
artificielle bouleverse les usages dans les entreprises, de la relation client
à la production de contenu. Mais derrière son apparente omniscience se cache
derrière certaines technologies une vulnérabilité majeure : les hallucinations.
Ces erreurs de réponse, inventées de toutes pièces mais formulées avec
assurance, peuvent nuire à la réputation d’une marque en quelques secondes. Le
spécialiste français de l’intelligence artificielle explicable, Golem.ai,
alerte sur les dérives réputationnelles d’une IA qui parle trop vite… et trop
faux.
Dans un monde où chaque
mot publié, chaque interaction client et chaque message d’entreprise est
scruté, une réponse erronée produite par un chatbot ou un assistant
conversationnel peut provoquer une onde de choc immédiate. Qu’il s’agisse d’une
fausse information transmise à un client, d’une erreur de conseil juridique,
d’une confusion de données confidentielles ou d’un message inapproprié, les
conséquences dépassent largement la simple faute technique : elles entament la
confiance.
Les entreprises qui adoptent des modèles d’IA générative sans garde-fous suffisants s’exposent à un risque réputationnel majeur. Une IA qui “hallucine” ne se contente pas de donner une mauvaise réponse ; elle engage symboliquement la voix de la marque. Et dans un contexte de communication instantanée, chaque erreur peut devenir virale, entraînant un effet domino : perte de crédibilité, méfiance des clients,
et dans certains cas, crises publiques amplifiées sur les réseaux
sociaux.
Face à ce constat,
Golem.ai rappelle qu’une autre approche de l’intelligence artificielle est
possible. L’entreprise française a développé une technologie neuro-symbolique,
fondée sur des règles de raisonnement logiques et transparentes, qui garantit
la cohérence et la traçabilité des décisions de l’IA. Contrairement aux modèles
probabilistes de type génératif, la technologie Golem.ai ne “devine” pas les
réponses : elle les déduit, en s’appuyant sur des structures de compréhension
linguistique et sémantique robustes.
Killian Vermersch,
fondateur et CEO de Golem.ai., rappelle : « L’enjeu n’est plus
seulement d’avoir une IA qui parle, mais une IA qui structure et qui ne ment
pas. Chaque fois qu’une IA générative crée seule une réponse, c’est la
crédibilité de l’entreprise qui peut être remise en question. Notre approche
neuro-symbolique vise à combiner la puissance de l’automatisation avec la
rigueur du raisonnement : pour que l’IA soit un vecteur de confiance, pas un
risque de communication. »
La fiabilité des
systèmes d’intelligence artificielle est aujourd’hui un enjeu stratégique pour
toutes les organisations. Qu’il s’agisse de secteurs réglementés, comme
l’assurance, la banque ou la santé, ou de domaines à forte exposition publique,
comme le tourisme ou les médias, la maîtrise de la parole algorithmique devient
un impératif. Golem.ai milite pour une IA sobre, explicable et maîtrisée, qui
s’intègre de façon responsable dans les processus métiers, sans compromettre la
réputation des marques qui l’utilisent.
Alors que l’enthousiasme autour de l’IA générative continue de croître, Golem.ai appelle à la prudence : dans le monde numérique, il ne suffit pas de parler vite — il faut surtout parler juste.


