Docusign publie
une étude exclusive sur la digitalisation et la compréhension des contrats.
81% des Français
affirment que les outils numériques simplifient la conclusion de contrats, les
jeunes étant les plus enclins à les adopter.
La grande majorité des
Français (79%) signent leurs contrats sans les lire entièrement. C’est ce que
révèle une étude Opinea menée pour Docusign, l’entreprise de gestion
intelligente des accords, sur la digitalisation et la compréhension des
contrats. Cette étude met notamment en lumière une érosion du rôle du contrat
en tant que cadre protecteur, pourtant essentiel à l’instauration de relations
de confiance, et identifie l’IA comme levier pour faire face à cet enjeu.
Les Français face aux
contrats : un besoin de clarté
La lecture intégrale
des contrats reste marginale. L’étude révèle que 37% des répondants n’en lisent
que les points essentiels. Cela dresse un tableau préoccupant : les contrats
sont censés apporter de la clarté et instaurer la confiance, mais les individus
ne sont pas pleinement conscients de ce qu’ils signent réellement.
Alors que cette
démarche est encore perçue par 37% des Français comme une manière de protéger
leurs droits ou d’assurer une forme de traçabilité, seuls 25% reconnaissent au
contrat sa fonction première : poser un cadre clair pour prévenir les
malentendus. Ce rapport ambivalent aux contrats témoigne d’un besoin urgent de
simplification.
« Les Français savent
l’importance des contrats, mais leur complexité décourage leur lecture, ce qui
augmente les risques de litiges et de pertes financières. C’est là que la
technologie entre en jeu : chez Docusign, nous la mettons au service de la transparence,
en complément de l’expertise humaine, pour que chacun, collaborateur comme
client, puisse comprendre clairement ce qu’il signe et renforcer ainsi la
confiance dans les accords, » explique Frédéric Brousse, Directeur
Général de Docusign France.
Plus intelligibles et
plus sûrs : les contrats entrent dans l’ère de l’IA
La transformation
digitale et notamment l’arrivée de l’intelligence artificielle (IA) bouleverse
tous nos usages, et la gestion des processus contractuels ne déroge pas à la
règle. Plus d’un Français actif sur deux sont convaincus que la signature
papier et les méthodes traditionnelles de suivi sont dépassées.
L’IA s’affirme comme un
nouvel allié dans la gestion des contrats : 65% des répondants se disent prêts
à y recourir pour mieux comprendre et gérer leurs contrats. Cette adhésion
témoigne maturité croissante face à l’IA, perçue comme un assistant au service
de la clarté.
Plus de 8 Français sur
10 (81%) estiment en effet que les outils numériques rendent le processus
contractuel plus efficace et moins stressant ; un sentiment même plus marqué
chez les Français de moins de 40 ans (82%). L’IA contribue ainsi à renforcer la
transparence et à restaurer la confiance dans l’acte contractuel.
« Pour les entreprises, cela confirme une réalité incontournable : offrir une expérience contractuelle fluide et transparente n’est plus une simple question d’efficacité. C’est une condition essentielle pour rester compétitif et un levier stratégique d’attractivité pour les talents, » conclut Frédéric Brousse.


