Depuis 2021,
le Groupe Adéquat Intérim & Recrutement donne la parole à une population
encore trop peu écoutée : les intérimaires.
Ils sont entre 700 000
et 850 000 à travailler chaque jour dans tous les secteurs de l’économie, et
pourtant, leur vision du travail reste largement absente des débats publics.
Pour la première fois,
le Baromètre annuel d’Adéquat est mené en partenariat avec IPSOS, et devient
ainsi l’un des rares indicateurs français à décrypter en profondeur les
attentes, les freins et les aspirations des candidats intérimaires. L’édition
2025 marque un tournant, avec une méthodologie renforcée et une ambition :
faire exister la voix de ceux qui assurent les missions essentielles, souvent
dans l’ombre.
Les grands
enseignements de ce Baromètre 2025 : un miroir social révélateur
Une population plus
attentive, mais plus fragilisée :
• 1 intérimaire sur 2 est actuellement en
poste, mais 1 sur 4 reste en recherche active,
• Le salaire reste le 1er critère, mais
l’ambiance de travail et la confiance dans le management progressent fortement
dans l’ordre des priorités,
• 42% des candidats passent par plusieurs
agences d’intérim pour maximiser leurs chances,
• 61% jugent la recherche d’emploi plus
difficile qu’avant, notamment à cause des processus longs ou d’un déficit
d’offres.
Stabilité et sens, deux
piliers d’une nouvelle exigence
• 76% des répondants souhaitent un contrat
durable (+12 pts en 1 an),
• 8 sur 10 placent désormais l’équilibre de vie
comme critère majeur dans leur choix d’emploi,
• Le salaire reste le 1er critère, mais l’ambiance de travail et la confiance dans le management progressent fortement dans l’ordre des priorités.
Adéquat x IPSOS : un
regard unique sur une cible ignorée
Les études sur l’emploi
en France se focalisent souvent sur les cadres, les jeunes diplômés ou les
salariés permanents. Or, les intérimaires sont rarement interrogés en tant que
population spécifique, malgré leur rôle vital dans la flexibilité et la résilience
de l’économie.
Le Baromètre Adéquat-Ipsos vient combler ce manque : il capte les signaux faibles d’un monde du travail en transformation, révèle les tensions invisibles sur le terrain et propose des pistes d’action concrètes pour les entreprises (ex. : clarté des offres, mention des salaires, valorisation du savoir-être...).