À l’occasion du lancement de son offre « AI Influence » dédiée à la maîtrise de sa réputation sur les IA, l’agence de communication JIN dévoile le 1er baromètre de réputation IA des dirigeants du CAC 40.
Objectif : comprendre comment les
intelligences artificielles génératives (comme ChatGPT) perçoivent,
synthétisent et hiérarchisent le leadership des patrons français - et avec
quelles conséquences pour leur image.
Une réputation des
dirigeants également façonnée par les IA
Aujourd’hui, 65% des
CSP+ utilisent l’IA pour s’informer (INSERM 2024) et 81 % font confiance à ses
réponses (YouGov 2024). Les moteurs IA comme ChatGPT Search représentent déjà 4
% des recherches web, un chiffre en croissance exponentielle.
JIN a confié à une IA
générative l’évaluation des 40 dirigeants du CAC selon 7 critères clés leadership : gouvernance, performance, communication, réputation, éthique,
relations employés et impact sociétal.
Résultat : une radiographie
inédite de leur réputation, vue par une IA qui devient un nouveau point de
contact majeur pour les investisseurs, talents, partenaires et journalistes.
Des dirigeants
globalement bien notés mais des critères d’évaluation pondérés qui construisent
des profils de réputation très différents
Sur cette première édition 2025, la note moyenne semble flatteuse avec 7,5/10, mais un éventail de notes allant de 6,4 à 8,7 : tous bien notés, mais pas à égalité.
Le top 3
1. Jean-Pascal Tricoire (Schneider Electric) -
8,7/10
2. Patrice Caine (Thales) - 8,6/10
3. Jean-Marc Chery (STMicroelectronics) -
8,6/10
Ces dirigeants en haut
du classement combinent excellence de gouvernance, vision durable et
performance.
Par ailleurs, on
distingue des profils de réputation différents
• Les leaders de
l’impact business :
Bernard Arnault (LVMH), François-Henri Pinault (Kering), Daniel Julien
(Teleperformance), tous salués pour leur performance… mais perfectibles sur
l’humain et la RSE.
• Les champions de
l’impact humain : Antoine de Saint-Affrique (Danone), Guillaume Faury
(Airbus), Hinda Gharbi (Bureau Veritas), aux profils RSE forts mais moins
percutants sur les résultats business.
Les dirigeants du luxe
et de la tech jouissent ainsi d’une image favorable, grâce à des résultats
financiers solides, une gouvernance efficace et une communication engageante.
Tandis que les dirigeants d’autres secteurs, plus critiqués par l’opinion, tels
que le secteur bancaire, se retrouvent relégués au bas des classements.
Et si demain… les IA
notaient vraiment les dirigeants ?
Avec l’émergence des
modèles de langage comme GPT (OpenAI), Grok (X) ou Gemini (Google),
l’évaluation IA des dirigeants n’est plus une fiction. Demain, un conseil
d’administration pourrait-il s’appuyer sur des scores de réputation IA pour
anticiper des crises, détecter les signaux faibles ou même recruter un CEO ?
JIN ouvre le débat avec ce premier baromètre.
« Comprendre ce que dit
l’IA sur vous, c’est comprendre ce que perçoivent vos parties prenantes et vos
audiences. L’IA deviendra bientôt la principale porte d’entrée pour la
réputation des dirigeants. Ce qu’elle dit reflète et façonne ce que pense le
marché »,
souligne Camille Fumard, directrice de l’offre communication des dirigeants
de l’agence.
« Tensions géopolitiques, incertitudes tarifaires et compétitivité féroce contrarient les engagements sociaux et environnementaux des entreprises, au profit d’un recentrage business. Mais la réputation des dirigeants et de leurs sociétés dépendra aussi de leur capacité à tenir leurs promesses. Les LLM et autres IA répertorient les engagements et leur éventuelle prise de distance par les dirigeants. Il faudra donc désormais composer avec cette mémoire accessible à tous. Elle deviendra un point central de la réputation numérique des dirigeants et des groupes, au vu et su de leurs actionnaires et partenaires. Qui a dit conscience numérique ? », prédit Edouard Fillias, Président et Fondateur de l’agence JIN.