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[Etudes] « Les ETI face au risque cyber »

1er Baromètre IFOP pour Stoïk, en partenariat avec le Mouvement des ETI (METI) et avec le soutien d’EY.


Cybermenace : les ETI prennent conscience du risque, mais manquent d’accompagnement 

 

Mieux informées, mieux préparées, les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) françaises font un pas décisif dans leur prise de conscience du risque cyber. C’est ce que révèle, entre autres, ce premier baromètre annuel mené par l’IFOP pour Stoïk, leader européen de l’assurance cyber pour les PME et ETI, avec le soutien du METI et d’EY. Toutefois, si elles reconnaissent la menace, veulent s’en prémunir et agissent dans ce sens, il reste un paradoxe : elles sont encore nombreuses à ne pas bénéficier d’un accompagnement adapté.


Une menace bien réelle et une prise de conscience massive

Loin d’un danger abstrait, le risque cyber est aujourd’hui clairement identifié par les dirigeants :

81% affirment se préparer à une éventuelle attaque ; 77% perçoivent une intensification du risque pour leur entreprise ; et près des 3/4 d’entre eux (73%) ont augmenté leur budget cybersécurité pour les

12 prochains mois.

Ce risque est déjà une réalité vécue par 1/3 d’entre elles (32%), qui déclarent avoir été victimes d’au moins une cyberattaque, dont plus de 20% qui ont été touchées au cours des 12 derniers mois. Les plus grandes sont aussi les plus touchées : la proportion grimpe, en effet, à 42% chez celles comptant entre 2 000 et 4 999 salariés.

Pour autant, ce climat de vigilance ne se traduit pas toujours dans les faits : seule une courte majorité (51%) a effectivement souscrit une assurance spécifique contre les cyberattaques. Une réalité qui révèle un décalage entre le sentiment de préparation et la réalité des moyens déployés.

 

Une couverture encore trop partielle et mal comprise

Cette sous-protection est d’autant plus problématique que les conséquences d’une cyberattaque sont redoutées par les dirigeants. En tête des inquiétudes : l’arrêt brutal de l’activité (36%), la fuite de données sensibles (29%) et, dans une moindre mesure, les frais d’investigation, la remise en état des systèmes ou encore le paiement d’une rançon.

Le message envoyé par les dirigeants est sans équivoque : ils attendent des contrats d’assurance plus complets, lisibles et utiles. 64% souhaitent une indemnisation complète en cas de sinistre. Près de

1 sur 2 attend des outils de prévention. Et, 43% aimeraient pouvoir mobiliser, en cas de crise, une équipe d’experts en cybersécurité. Des chiffres qui traduisent une demande forte d’une assurance qui ne se contente pas d’indemniser, mais qui accompagne, anticipe et protège de bout en bout.


Jules Veyrat, Président et co-fondateur de Stoïk, rappelle : « Ce baromètre montre un tournant : les ETI ont intégré le risque cyber à leur feuille de route. Elles se préparent activement. Ce qu’elles attendent désormais, ce n’est pas une assurance standard, mais un modèle complet qui les aide à prioriser, prévenir, réagir. C’est exactement ce que nous proposons avec Stoïk : une couverture à 360°, qui conjugue assurance, outils de prévention et équipe d’intervention. »

 

Alexandre Montay, Délégué général du METI, poursuit : « Les ETI, ce sont 7 200 entreprises qui réalisent plus de 1 000 milliards d’euros de chiffre d’affaires, représentent un quart de l’emploi en France et 38% de l’emploi industriel. Leur poids économique en fait des cibles privilégiées des cyber attaques. Ce Baromètre démontre qu’elles en ont parfaitement conscience et sont soucieuses de se protéger contre ce risque croissant aux conséquences potentiellement dévastatrices. Néanmoins, comme souvent, elles semblent pâtir d’une relative inadaptation de l’accompagnement qui leur est proposé : ce Baromètre devrait contribuer à ce que soient mieux pris en compte leurs besoins spécifiques en la matière. »

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