Ce contenu est réservé aux abonnés. Procédez à votre inscription et choisissez votre formule d'abonnement
L'accès à ce contenu requiert un abonnement. Accédez à votre compte pour choisir la formule qui vous convient
Ce contenu n’est pas inclus dans votre abonnement. Bénéficiez de notre offre d'abonnement "tout Esteval" pour accéder à tous nos espaces éditoriaux !
fonds, gestion d'actifs, tendances, marchés
Par
Emmanuel Auboyneau, Gérant Associé d'Amplegest.
L’année 2024 s’achève
sur une note plutôt positive grâce à une croissance mondiale résiliente et à
une poursuite du mouvement désinflationniste. Ce sont toujours les Etats-Unis
qui jouent le rôle de locomotive de l’économie planétaire, alors que l’Europe
patine et que la Chine se redresse modérément. Ces tendances devraient se
poursuivre début 2025. Les politiques monétaires et budgétaires ainsi que
l’évolution des conflits...
Articles en relation
[Question de Gestion] L'Investissement responsable poursuit sa croissance et s'ancre durablement dans les pratiques des sociétés de gestion en France
[Question de Gestion] ISR : entre désillusion et renouveau, pourquoi la décollecte s’accélère
[Question de Gestion] Résultats trimestriels : la tech et l’IA dopent Wall Street
[Question de Gestion] Les leaders et les retardataires des « Sept Magnifiques » : prévisions pour la saison des résultats du troisième trimestre 2025
[Question de Gestion] Evolution démographique et progrès technologique, un nouvel horizon de croissance
[Question de Gestion] Les tensions au sein de la Fed limitent le potentiel de hausse des obligations d’État américaines
[Question de Gestion] ISR : entre désillusion et renouveau, pourquoi la décollecte s’accélère
[Question de Gestion] Résultats trimestriels : la tech et l’IA dopent Wall Street
[Question de Gestion] Les leaders et les retardataires des « Sept Magnifiques » : prévisions pour la saison des résultats du troisième trimestre 2025
[Question de Gestion] Evolution démographique et progrès technologique, un nouvel horizon de croissance
[Question de Gestion] Les tensions au sein de la Fed limitent le potentiel de hausse des obligations d’État américaines


