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Nordea développe son offre auprès des CGPI avec le fonds Nordea 1-Stable Return Fund

Nordea a récemment co-organisé avec MyFlow Institute, une formation consacrée aux CGP, sur le thème de l’allocation d’actifs. A l’honneur, à cette occasion, le fonds Nordea 1-Stable Return Fund, créé en 2005 par l’équipe Multi-Assets de Nordea.

Éclairage sur les caractéristiques de ce fonds diversifié, commercialisé auprès des CGP, avec Rafaella Ostier, Sales Manager France, Nordea Investment Funds, Asbjørn Hansen et Claus Vorm, co-gérants du fonds Nordea 1–Stable Return Fund 

En quoi ce fonds répond-il particulièrement aux attentes des CGPI ?

Rafaella Ostier : Nordea 1 – Stable Return Fund a pour objectif de délivrer des performances stables et récurrentes dans le temps dans le cadre d’une allocation d’actifs diversifiée. La sélection des actifs les plus stables garantit un profil de risque modéré ainsi qu’une faible volatilité. Cela représente des atouts crédibles permettant de favoriser la préservation du capital, dans le cadre d’une stratégie d’investissement patrimoniale. Pour atteindre ce but, nous allouons les actifs en fonction d’un budget de risque étroitement défini, celui-ci permettant de minimiser la probabilité de pertes du portefeuille sur un horizon d’investissement de 3 ans.

Qui plus est, le fonds Nordea 1 – Stable Return présente une décorrélation assez significative par rapport à certains fonds patrimoniaux de sa catégorie. Combiner ce fonds à certains de ses homologues, peut donc procurer une diversification intéressante à l’allocation d’actifs et améliorer son profil rendement/risque.

Dans quels actifs investissez-vous ?

Claus Vorm : Le fonds investit dans des actions, des obligations et des instruments relatifs aux marchés monétaires.

Quels sont les points-clés du processus d’investissement ?

Claus Vorm : Le fonds associe une Allocation d’Actifs Stratégique (AAS) à une Allocation d’Actifs Tactique (AAT). Pierre angulaire de la stratégie, l’AAS permet d’évaluer le prix des différentes classes d’actifs en comparant leur valorisation du moment avec leur prix d’équilibre à long-terme.

L’AAS est ensuite ajustée grâce à l’AAT, qui permet d’affiner le portefeuille à court-terme en contrôlant le risque. Les positions tactiques sont destinées à protéger le portefeuille dans une configuration de marché agitée, et à procurer un surcroit de valeur en cas de marché haussier. Le portefeuille final résulte de l’agrégation des portefeuilles stratégique et tactique.

Comment se compose l’allocation d’actifs actuellement ?

Claus Vorm : Actuellement, l’exposition du fonds aux actions s’élève à 40%, contre près de 60% concernant les obligations. La part du portefeuille allouée aux actions privilégie les titres des entreprises qui se démarquent par un business-model solide, des bénéfices stables et récurrents, ainsi que des cash-flows durables. Ces valeurs dont le beta avoisine 0.7, sont moins volatils et offrent une plus grande protection contre les chutes de cours, comparativement à l’ensemble des autres actions.

Sur la partie obligataire, nous privilégions les titres les plus sûrs pour équilibrer le risque relatif à l’exposition actions. C’est pourquoi le fonds est investi en obligations danoises adossées à des créances hypothécaires (MBS) et en obligations sécurisées européennes notées AAA. Ces obligations présentent non seulement un profil de risque plus faible, mais aussi un meilleur potentiel de rendement, que les titres souverains réputés les plus sûrs. Ces derniers délivrent désormais un rendement réel négatif une fois l’inflation déduite, en raison de l’environnement actuel dans lequel les taux d’intérêt sont bas.

Quelles sont vos perspectives pour 2013 ?

Asbjørn Hansen : Nous sommes persuadés que l’économie mondiale va faire « le dos rond » en 2013 et que la volatilité des marchés va persister. Nous sommes de ceux qui pensent que la zone euro ne s’effondrera pas, même si le chemin est encore tortueux. La probabilité d’un éclatement de la zone a diminué après les coupes budgétaires supplémentaires en Grèce et l’officialisation par la BCE de son programme OMT (Outright Monetary Transactions), grâce auquel la banque centrale s’engage à racheter les titres obligataires souverains émis par les pays les plus en difficulté. Même si les pays du sud ont engagé les réformes nécessaires pour réduire leur déficit budgétaire, l’Europe reste néanmoins exposée à la crise et lutte pour retrouver le chemin de la croissance.

Claus Vorm : La recherche de rendement restera une priorité pour les investisseurs dans l’année à venir, avec ce fameux dilemme : les classes d’actifs réputées sûres ne procurent plus assez de rendement. Nordea 1 – Stable Return Fund présente l’avantage de minimiser le risque tout en offrant un rendement attractif. En définitive, ce fonds « tout temps » tient sa place en cœur de portefeuille de tout investisseur.

 

 

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